Le combat avait cessé, les armes étaient déposées ; nous avions perdu.
Les hostilités duraient depuis déjà 3 ans. Comme tous les jeunes hommes de mon âge, je m’étais engagé dans le conflit pour les récompenses et surtout pour l’adoration des femmes. Je me voyais déjà agitant avec fierté le drapeau de mes pères sur notre nouveau territoire.
Ils nous avaient dit que se serait facile, que nous n’avions pas besoin d’entrainement, que le sang des vainqueurs coulait en nous. Nous serions victorieux.
Ils avaient tort.
Trinity Gakuba.
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