Te souviens-tu de notre voyage à Cordeville, dans ces chaumes verts d’une teinte caramel à la vanille et de cet amalgame de volatiles volant au-dessus des végétaux avec cette maladresse habile ?
Te rappelles-tu de ce ciel magnifique reflétant ton amical et haineux amour envers cette dame et de ce soleil qui rit de malheur en voyant la vanité du ver en verre ?
Néanmoins, bientôt viendra la maladive mortalité de mal ; tu devras alors fuir avant de sombrer dans une dépression joyeuse afin de ne pas oublier ce magnifique été sombre et pluvieux.
Camille Pourignaux
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