jeudi 19 mai 2011

Zoltan kemeny – tronc – 1964

Le bois s’allonge, est tortueux et se termine.
Se termine en immeubles tel une cité s’allongeant à perte de vue.
Une cité perdue et abandonnée par la vie où la mort règne en roi.
Mais avec le sentiment qu’un espoir est toujours possible.
Peut être est-ce un homme perdu dans l’infinité du désespoir.
Ce désespoir coulant comme une rivière dans un canyon
Avec des falaises abruptes impossibles à franchir mais qu’obstinément on essaye de passer pour ne pas tomber dans l’enfer de la rivière ou la mort.

Raphaël Szöke

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